Stabiliser le capitalisme!
Les principes de politiques ultra libérales prônés par le livre blanc des années nonante ont démontré leurs limites. La crise de 2008 a radicalisé les positions extrêmes prônant d’un côté la libre entreprise et d’un autre, le contrôle total par l’actionnaire et la législation.
L’émergence d’une nouvelle gouvernance, plus invasive dans le fonctionnement de l’entreprise peut conduire à une réduction en Occident de la volonté d’entreprendre, au profit des pays émergents où ayant émergé ayant moins de scrupules quant au bien-être du citoyen en général.
Le capitalisme a atteint un pic dans son développement en 2008 en ayant fait ressortir une mentalité purement financière de l’approche économique chez un nombre d’acteurs important. Les fonds de pensions ont malheureusement suivi le mouvement en ne considérant plus les fondamentaux économiques dans la création de richesse, mais en ne recherchant plus que du gain en capital pour compenser le manque à gagner que la mutation économique en cours induit. Les horizons de conquête ne sont plus les nouveaux marchés qui se sont ouverts, mais bien notre mode de fonctionnement de vie et la forme de nos attentes. Aujourd’hui, il convient de redéfinir le long terme d’un investissement pour être en adéquation avec le temps nécessaire à un développement, respectivement redéveloppement, ou mutation industriels.
Un investissement économique industriel durable n’est plus le fondement de la mise à disposition du capital. Seul demeure le gain absolu, peu en importe l’origine. Cette évolution peut être modérée, sinon inversée, et quelques prémisses permettent de penser que le développement économique évolue vers une nouvelle forme participative et interactive entre des investisseurs coactionnaires et des entreprises responsables. Toute démarche dans ce sens doit permettre de stabiliser un capitalisme libéral social avec une conscience environnementale et une approche durable.
ONE CREATION est un de ces défis qui préservent les acquis économiques, rejette une spéculation financière, intègre la nécessité de favoriser le développement de l’entreprise en étant un partenaire fiable accompagnant celle-ci dans les différents mouvements économiques, sans condamner les périodes de basses conjonctures, tout en assurant un revenu récurent.
Le capitalisme a atteint un pic dans son développement en 2008 en ayant fait ressortir une mentalité purement financière de l’approche économique chez un nombre d’acteurs important. Les fonds de pensions ont malheureusement suivi le mouvement en ne considérant plus les fondamentaux économiques dans la création de richesse, mais en ne recherchant plus que du gain en capital pour compenser le manque à gagner que la mutation économique en cours induit. Les horizons de conquête ne sont plus les nouveaux marchés qui se sont ouverts, mais bien notre mode de fonctionnement de vie et la forme de nos attentes. Aujourd’hui, il convient de redéfinir le long terme d’un investissement pour être en adéquation avec le temps nécessaire à un développement, respectivement redéveloppement, ou mutation industriels.
Un investissement économique industriel durable n’est plus le fondement de la mise à disposition du capital. Seul demeure le gain absolu, peu en importe l’origine. Cette évolution peut être modérée, sinon inversée, et quelques prémisses permettent de penser que le développement économique évolue vers une nouvelle forme participative et interactive entre des investisseurs coactionnaires et des entreprises responsables. Toute démarche dans ce sens doit permettre de stabiliser un capitalisme libéral social avec une conscience environnementale et une approche durable.
ONE CREATION est un de ces défis qui préservent les acquis économiques, rejette une spéculation financière, intègre la nécessité de favoriser le développement de l’entreprise en étant un partenaire fiable accompagnant celle-ci dans les différents mouvements économiques, sans condamner les périodes de basses conjonctures, tout en assurant un revenu récurent.