publié le vendredi 24 oct. 2014
Solidairement tous en accord, individuellement pas concerné
Le paradoxe du développement durable et de son corolaire la finance durable
L’humanité est devant l’un de ses plus grands défis depuis son apparition sur terre. En effet, les atteintes à l’environnement ne sont plus qu’un effet perceptible uniquement par quelques scientifiques en mal de notoriété.
Chaque jour tout un chacun peut se rendre compte que le climat n’est plus le même, que l’eau que nous buvons a souvent un goût de chlore pour la rendre consommable, si elle ne l’est pas dans plusieurs fontaines publiques tant en Suisse que dans le monde. Toutes les formes de presse relèvent les pollutions, les désertifications grandissantes suite aux coupes effrénées des forêts primaires, des déchets dans les océans et plus près dans nos rues. Que dire de la disparition massive tant de la biodiversité végétale qu’animale et aquatique!(...)
Un jour une personne bien intentionnée m’a dit qu’il ne servait à rien de tenir de tels propos, car cela n’était pas constructif. À l’époque, je lui avais répondu que j’étais en accord avec son affirmation. Mais aujourd’hui, je ne peux plus. (...)
L’acceptation des changements à réaliser est une réalité, en même temps qu’une très grande opportunité pour l’humanité de s’affirmer dans ce que je qualifierais être le plus grand défi social qui ne s’est jamais présenté: penser à son prochain, penser aux autres en agissant individuellement au quotidien pour inverser une situation dont la plus grande majorité de toutes les personnes qui vivent pourront constater les bienfaits et ainsi en profiter individuellement.
Rêve ou utopie? Un mélange des deux que même la finance commence à intégrer. Certes difficilement pour certains pays et avec force et conviction pour d’autres.
(...)
Olivier Ferrari
Octobre 2014
Chaque jour tout un chacun peut se rendre compte que le climat n’est plus le même, que l’eau que nous buvons a souvent un goût de chlore pour la rendre consommable, si elle ne l’est pas dans plusieurs fontaines publiques tant en Suisse que dans le monde. Toutes les formes de presse relèvent les pollutions, les désertifications grandissantes suite aux coupes effrénées des forêts primaires, des déchets dans les océans et plus près dans nos rues. Que dire de la disparition massive tant de la biodiversité végétale qu’animale et aquatique!(...)
Un jour une personne bien intentionnée m’a dit qu’il ne servait à rien de tenir de tels propos, car cela n’était pas constructif. À l’époque, je lui avais répondu que j’étais en accord avec son affirmation. Mais aujourd’hui, je ne peux plus. (...)
L’acceptation des changements à réaliser est une réalité, en même temps qu’une très grande opportunité pour l’humanité de s’affirmer dans ce que je qualifierais être le plus grand défi social qui ne s’est jamais présenté: penser à son prochain, penser aux autres en agissant individuellement au quotidien pour inverser une situation dont la plus grande majorité de toutes les personnes qui vivent pourront constater les bienfaits et ainsi en profiter individuellement.
Rêve ou utopie? Un mélange des deux que même la finance commence à intégrer. Certes difficilement pour certains pays et avec force et conviction pour d’autres.
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Olivier Ferrari
Octobre 2014