publié le mardi 26 jan. 2016
Article: L’aura détériorée par les dérives financières
Les pratiques usurières relatives aux taux d’intérêt exercés sur les emprunteurs sont constamment au centre de tous les débats controversés de la microfinance.
Le secteur de la microfinance témoigne de vifs désaccords entre diverses parties. À l’échelle mondiale, il est parfois compliqué pour
certaines IMF de trouver des financements, les défauts de paiements
sont courants dans certaines régions et les sceptiques commencent à remettre en question son efficacité dans la conduite d’actions en faveur du développement économique et social ainsi que de la réduction de la pauvreté. D’audacieuses revendications sont faites, cependant, les auteurs sont généralement des décideurs politiques ou les consultants eux-mêmes et non les praticiens.
Évidemment, le premier argument en faveur des pratiques microfinancières porte sur les bienfaits qu’ils prodiguent aux familles pauvres. Les opportunités de sortie de misère qu’elles offrent restent au centre des débats.
(...)
Article paru dans le quotidien économique suisse L'Agefi du 26 janvier 2016.
Évidemment, le premier argument en faveur des pratiques microfinancières porte sur les bienfaits qu’ils prodiguent aux familles pauvres. Les opportunités de sortie de misère qu’elles offrent restent au centre des débats.
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Article paru dans le quotidien économique suisse L'Agefi du 26 janvier 2016.