Comme chaque année, le mois de mars annonce, au Salon de l’auto à Genève, des nouveautés dans le domaine de l’automobile avec les modèles qui vont révolutionner un futur proche de ce marché.

S’il est bien un élément probant de la compétition des constructeurs, c’est le marché de la voiture électrique. Si tout un chacun peut s’en réjouir, sommes-nous vraiment dans une réponse probante à la principale cause affirmée du changement climatique de la planète qu’est le CO2?

Une voiture électrique, durant son cycle de vie, peut émettre autant de carbone qu’un véhicule diesel,un élément d’objectivité positif se doit de considérer la fréquence d’utilisation dudit véhicule qui change les conclusions de l’impact du cycle de vie considéré. Il faudrait avoir parcouru de 50’000 à 100’000 km en voiture électrique pour commencer à moins produire de CO2 qu’une voiture thermique. Soit 15 à 30 km par jour, 365 jours par an, pendant 10 ans ! Si l’on intègre le coût écologique de production, il convient d’intégrer l’impact de l’extraction des métaux rares pour la production des batteries.

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