publié le jeudi 19 nov. 2015
Article: L’important défi des années à venir
Article paru dans le quotidien économique et financier L'AGEFI
Il convient de tracer une vision qui arrête de faire croire que tout un chacun peut prétendre à tout. D’éviter de tuer la libre entreprise.
Doit-on parler d’altermondialisation, d’associationnisme, de capital social, ou de commerce équitable? D’économie alternative, populaire, ou solidaire? De monnaie sociale, de socialisme participatif, de travail émancipé ou peut-être un peu de tout en même temps? C’est bien là le défi auquel notre époque est confrontée. Il convient de tracer une vision qui arrête de faire croire que tout un chacun peut prétendre à tout. De même qu’il convient d’éviter de tuer la libre entreprise. L’innovation ne doit pas être destructrice, mais bien génératrice d’un meilleur vivre pour la plus grande population possible. (...)De dix-sept objectifs pour une planète durable, on peut en démultiplier tout autant d’opportunités de relais de croissance et d’amélioration des conditions de Vie en général de chacun et de tous. L’humanité est face à une extraordinaire opportunité d’être unie pour un seul destin et nous avons la chance d’en faire partie. Un privilège exquis.
On ne peut faire le bonheur des autres qu’avec leur consentement. Dans l’acquis de ce dernier, ce bonheur est infini, jusqu’à la frontière qu’on lui impose. Sachons, des connaissances avérées en faire un levier de développement durable pour le bonheur de tous et, sans frontières. «Ceux qui ont le privilège de savoir, ont le devoir d’agir», Albert Einstein. Ainsi vivront les abeilles.
Extrait du premier Essai littéraire français/anglais d'Olivier Ferrari "Pour que vivent les abeilles… et tout l’existant aussi / To bee or not to bee... for a new paradigm"
Article paru le 19 novembre 2015